Faire étranger ton langage
Il y a un goût de, je ne sais pas, qu’on peut faire n'importe quoi avec un langage quand on l'étudie à la première fois. On peut dire, en fait, que cette expérience est celle-là qu'on cherche dans son langage, quand on se place devant un clavier pour écrire. Je suis très tenté de dire choses comme: J'ai passé (moi même) dans ton cœur. Paranuit, au lieu de parapluie et plus d'absurdités qui néanmoins sont à la frontière du sens, ou qui peuvent être séduisantes comme des jeux. Je voudrais écouter les mots de l’Espagnol comme ça, comme un essai, comme une chose qui ne peut pas endurer la moindre rigueur à l'analyse.
Comentarios
Un abrazo de lejitos para no contagiarlo.
M*